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Avec le temps, Léonard constata qu’il n’utilisait plus l’encens seulement pour se amuser, mais qu’il le considérait désormais en tant qu' un catalyseur d’intuition, augmentant ses levée parallèlement la voyance immédiate par téléphone. Au fur et à prosodie de ses lectures sur Phil voyance, il approfondit ses capacités concernant les propriétés de certaines senteurs. Le patchouli semblait génial pour inviter l’enracinement et la durabilité, le storax soutenait la distraction pendant questionnements complexes. Il n’était jamais article de superstition ou de certitude suprême, mais très d’une fiabilité accrue, permettant à tous d'apprécier quelle note olfactive l’aidait le bon à penser. Léonard aimait cette technique empirique, expérimentant différentes harmonies jusqu’à trouver ce que le mettait dans l’harmonie la plus juste. Il se surprit également à souligner combien sa souvenance devenait plus vigoureuse lorsqu’il respirait certains fragrances, à savoir si l’encens ouvrait une porte auprès de histoires enfouis. Dans ces instants, la guidance par téléphone prenait une tournure plus introspective encore, le médecin devenant un joignant pacifique pour accueillir ces fragments du passé qui refaisaient surface. De chapitre en sujet, Phil voyance partageait des récits inspirants sur la méthode avec laquelle d’autres visiteurs avaient incorporé la voyance immédiate par téléphone à leurs propres échanges de filtrage ou de sagesse. Léonard adorait lire ces témoignages, car ils lui montraient que son chemin n’était pas isolé. Il prenait conscience que le contact à distance, loin de fléchir la cadence du lien, pouvait de générations en temps l’amplifier.